Réflexions aux différents propos du Saint-Père concernant les migrants
Les migrants qui arrivent de nos jours en Europe ne fuient pas tous une situation alarmante. Ils arrivent souvent en brandissant de grands sourires. Ils ne semblent pas miséreux. Ils ne montrent aucune nostalgie du pays et arrivant en nombre pour retrouver un autre nombre. La mélancolie est absente, car compensée par le communautarisme qu’ils importent et qu’ils retrouvent. Enfin, ils voyagent en célibataires, sans femmes ni enfants, ce qui devrait intriguer. Pour le moins. Qu’il y ait une volonté derrière cela paraît évident, même si l’étiquette complotiste sera brandie à cette phrase. Les migrants à l’ancienne, quittait une situation défavorable pour trouver non pas le confort, mais plutôt pour échapper à l’enfer, sans être sûr de trouver un réconfort, mais armés l’espérance comme je l’ai dit plus haut. Ils partaient avec femmes et enfants, car ils voulaient les protéger. Le sentiment national a disparu des migrants modernes, sont-ils a-nationaux ? Où trouvent-ils l’argent pour faire la traversée ? Pendant la guerre en Irak, des autorités religieuses chrétiennes avaient noté que des passeports et des visas avaient été largement distribués, là où avant-guerre, il était extrêmement difficile d’en avoir un. Enfin que la majorité de ses migrants soient musulmans devrait aussi interroger. Quand on sait qu’un musulman doit mourir (et donc vivre) sur une terre musulmane, on ne peut que se poser la question de leur manque d’envie de rejoindre une terre musulmane, d’autant que celles-ci sont souvent bien plus proches géographiquement que l’Europe. Autant de questions que le pape François ne pose jamais. Autant de questions qui semblent pourtant tomber sous le sens.